Bienvenue à tous sur le blog Fragments de Cerveau, consacré aux citations, aux mots d'esprits, à l'humour noir, aux poèmes, aux stances, aux extraits de films, et tous autres jeux de mots. Je vous souhaite une bonne lecture et quelques éclats de rires.




*

samedi 28 février 2009

« Les vieillards tiennent beaucoup trop à leurs idées. C’est pourquoi les naturels des îles Fidji tuent leurs parents quand ils sont vieux : ils facilitent ainsi l’évolution, tandis que nous en retardons la marche en faisant des académies. »

Anatole France (1844 à 1924)
D’un homme dont l’haleine était particulièrement forte, il déclara : « Je savais qu’il avait été exécuteur testamentaire, mais j’ignorais qu’il avait mangé le cadavre. »

Aurélien Scholl (1833 à 1902)
« Quand j’aurai les trois quarts du corps dans la tombe, je dirai ce que je pense des femmes, puis je rabattrai vivement sur moi la dalle du caveau. »

Léon Tolstoï (1828 à 1910)

vendredi 27 février 2009

« Dès que le cœur d’un grand homme cesse de battre, on donne son nom à une artère. »

Eugène Labiche (1815 à 1888)
Son épouse était si autoritaire qu’il avait rédigé son testament en commençant par ces mots : « Voici mes premières volontés… »

Eugène Labiche (1815 à 1888)
Un écrivain lui disait : « Ce n’est qu’après ma mort qu’on découvrira l’homme que j’était ! Tant mieux, tant mieux pour vous, à ce moment-là, vous ne risquerez plus rien. »

Giuseppe Verdi (1813 à 1901)
« Dieu est-il mort ? Non, disent-ils. Pour avoir le droit de mourir, il faut avoir vécu. »

Eugène Pelletan (1813 à 1884)
« La fièvre typhoïde est une maladie terrible : ou on en meurt, ou on en reste idiot. J’en sais quelque chose : je l’ai eue. »

Patrice de Mac-Mahon (1808 à 1893)

jeudi 26 février 2009

« J’ai toujours considéré une jeune veuve qui pleure son mari comme un bâton de bois vert qu’on a jeté en travers sur le feu : il pleure par un bout, quand le cœur est près de l’enflammer. »

Jean Commerson (1802 à 1879)
« J’aimerais mieux aller hériter à la poste que d’aller à la postérité. »

Jean Commerson (1802 à 1879)
« De toutes les tyrannies qui frappent l’humanité, la pire est la tyrannie en matière de religion. »

Thomas Paine extrait de The Age of Reason, 1793
« J'ai toujours vigoureusement défendu le droit de chaque homme à sa propre opinion, aussi différente qu'elle puisse être de la mienne. Celui qui refuse à un autre ce droit se rend lui-même esclave de son opinion présente, car il se prive du droit d'en changer... L'infidélité ne consiste pas à croire ou à ne pas croire, mais à affirmer croire ce que l'on ne croit pas. Il est impossible d'évaluer les dégâts moraux que le mensonge à soi-même provoque dans une société. »

Thomas Paine extrait de The Age of Reason, 1793

mercredi 25 février 2009

Demeure

Ma maison n’a pas de murs ni de toit.
Elle est ainsi à l’abri de la pluie et du vent.
L’été j’ai chaud ma climatisation est ma transpiration,
L’hiver j’ai froid, mon chauffage est mon courage.
Quand enfin il pleut je suis mouillé ce qui me permet de me laver.
Quand il neige, je me transforme en un bonhomme de neige.
Ma maison est en parfaite adéquation avec la nature.
Elle & Moi
Nous ne faisons qu’un.
Aux files des saisons.

Douce nuit

Amie d’un soir,
Bonsoir.
Ravi de vous revoir,
Désirez-vous boire,
Un délicieux café noir,
Avec un petit carré de chocolat noir,
Pour pouvoir,
M’accompagner dans le noir,
Me laissant entrevoir,
Sous ce chemisier noir,
Vos si charmants petits seins en forme de poires,
Je caresse votre douce peau noire,
Divine panthère noire,
Allons dans cette chambre noire,
Enivrons-nous du parfum des lotus noir.

Pas ce soir !
Il ce fait tard, s’en ai fini de nous voir…
En quittant la chambre du manoir,
Dans ce long couloir,
Renoir,
Me laisserez-vous l’espoir ?
De vous revoir,
Demain soir ?

Bien entendu, divine déesse noire.
Il serait illusoire,
De ne pas vous revoir,
Pour pouvoir,
De nouveau jouer avec vous dans le noir.
Ma chère et tendre étoile noire.

Renoir !
Je vous remercie de ne point me décevoir,
Au revoir !
Charmant prince noir,
Je vous embrasse en attendant de vous revoir,
Demain soir.

mardi 24 février 2009

« Heureux les fêlés… car ils laissent passer la lumière… »
« Avec la tête que tu as, c’est pas de la chirurgie esthétique qu’il te faut, c’est un voyage à Lourdes. »
« L’homme qui sort de chez lui est déjà un cocu en puissance. »

Frédéric Dard
« Un homme ne sait pas ce qu’est le bonheur avant d’être marié. Mais, à ce moment-là, c’est trop tard. »

Frank Sinatra

lundi 23 février 2009

« Vouloir comprendre les femmes est aussi facile que vouloir compresser du carbone pour avoir un diamant. »
« J’ai entendu un coup de feu et j’ai vu un type qui sortait comme une balle. »

extrait d’un rapport de gendarmerie
« J’ai dit à mon médecin que tous les matins, lorsque je me regarde dans la glace, j’ai envie de vomir. Il m’a répondu : ça prouve que votre vue est bonne. »
« Les murs de mon appartement ne sont tellement pas épais que lorsque mes voisins font l’amour, j’ai un orgasme ! »

Linda Herskovic

dimanche 22 février 2009

Éphémère compagnie

De temps en temps,
Elle m’accordé un peu de son temps.
Juste un instant,
Sur ce banc.
Je deviens un petit chenapan.
En un instant,
Mes mains agrippent son flanc,
Je l’embrasse un trop court instant…
Emporté par le vent,
Elle c’est évanouie
Ce n’est qu’un contre temps.
Avant…
Quelques temps !
Soupir… soupir…
« Si les ennuis d'une grande partie du monde risquent de concerner tout le monde, par contre, ceux d'une petite partie du monde ne risquent pas d'intéresser grand monde. »

Pierre Dac

samedi 21 février 2009

Les feuilles d’automne

Le concert de l’été s’en est fini,
Entendez-vous ?
Ce vent qui souffle,
C’est l’automne !
Le bruit des branches qui s’entrechoquent,
Les arbres pleurent,
Toutes les feuilles volent dans le ciel bleu.
Balaie des cimes,
Elles virevoltent,
Bercées par le vent,
Elles se couchent à terre,
Place à l’Hiver.

vendredi 20 février 2009

« Le suicide c’est une façon de dire à Dieu : Tu ne veux pas me licencier, je démissionne ! »

Bill Maher
« La plus grande invention de l’histoire de l’humanité est sans doute la bière. Certes, la roue est aussi une très belle invention mais elle accompagne beaucoup moins bien une pizza. »

Dave Barry
« On nous montre souvent comment, avec les détergents actuels, on peut enlever des taches de sang. Mais il est probable qu’avec un tee-shirt couvert de sang, notre souci premier ne soit pas de faire partir la tache mais de trouver un endroit pour cacher le corps. »

Jerry Seinfeld
« Un homme politique, c’est quelqu’un qui est prêt à donner votre vie pour sauver sa patrie. »

Texas Guinan

jeudi 19 février 2009

« La conscience, c’est cette petite voix intérieure qui nous avertit que quelqu’un pourrait nous voir. »
« Il y a bien assez sur terre pour tous mais pas assez pour la cupidité de chacun. »

Gandhi
« Je préfère qu’il y ai la guerre de mon temps pour offrir la paix à mon fils. »

Thomas Paine, né le 29 janvier 1737 à Thetford en Grande-Bretagne et mort le 8 juin 1809 à New York, est un intellectuel, pamphlétaire, révolutionnaire devenu américain après avoir émigré à l’âge de 37 ans. Il est connu pour son engagement durant la Révolution américaine en faveur de l'indépendance des treize colonies britanniques en Amérique du Nord. Il a exposé ses positions dans un célèbre pamphlet intitulé Le Sens commun, publié quelques mois avant la signature de la Déclaration d’indépendance américaine en 1776.
« Les noix de coco tuent 15 fois plus d'hommes par an que les requins. »

lu dans un journal

mercredi 18 février 2009

« La dernière fois que j'ai pénétré une femme, c'était en visitant la statue de la Liberté. »
« La célébrité m'a apporté un gros avantage : les femmes qui me disent non sont plus belles qu'autrefois. »
« L’humanité est à un croisement : un chemin mène au désespoir, l’autre à l’extinction totale.
Espérons que nous aurons la sagesse de savoir choisir. »

mardi 17 février 2009

« L'homme n'amène pas son propre malheur, et si nous souffrons, c'est par la volonté de Dieu, bien que je n'arrive pas à comprendre, pourquoi il se croit obligé de tellement en remettre. »

extrait de Pour en finir une bonne fois pour toute avec la culture
« L’homme est constitué de deux parties, son esprit et son corps. Mais son corps s’amuse beaucoup plus… »
« L'avantage d'être intelligent, c'est qu'on peut toujours faire l'imbécile, alors que l'inverse est totalement impossible. »

lundi 16 février 2009

« Je suis si intelligent que mon cerveau est mon deuxième organe favori. »
« Je portai un pistolet à ma tempe, mais au dernier moment, mes nerfs craquèrent et je tirai en l'air. »

Woody Allen extrait de Destins tordus (1981)
« Je pense que le crime paie. Les horaires sont bien et vous voyagez beaucoup. »
« Je ne sais pas si Dieu existe. Mais s'il existe, j'espère qu'il a une bonne excuse. »

dimanche 15 février 2009

« Je ne sais pas ce qui m’inquiète à propos de la mort : sans doute les horaires. »
« Je hais la réalité mais c'est quand même le seul endroit où se faire servir un bon steak. »

Woody Allen extrait de Destins tordus
« J'avais une balle dans la poche, quelqu'un m'a jeté la Bible, la balle m'a sauvé la vie. »

Woody Allen extrait de Powered by Oxygen
« J'aurais voulu être espion, mais il fallait avaler des microfilms et mon médecin me l'a interdit. »

samedi 14 février 2009

« J’aimerais dire un mot sur la contraception orale.
J’ai moi-même été témoin d’un bon exemple de ce type de contraception.
J’ai demandé à une fille si elle voulait coucher avec moi et elle m’a répondu que non. »
« J'ai toujours pensé que, tant que l'homme sera mortel, il ne sera jamais décontracté. »
« J'ai été expulsé du lycée pour avoir triché pendant un examen de métaphysique ; je lisais dans les pensées de mon voisin. »
Chien sans pedigree mordrait personne sans moralité.

vendredi 13 février 2009

« Il y a une différence capitale entre "être" et "en être". Appartenir à l'un ou à l'autre groupe n'a aucune importance pourvu qu'on s'amuse. »

Woody Allen extrait de Destins tordus
« Il y a deux types de personnes dans ce monde, les bons et les mauvais. Les bons dorment mieux, mais les mauvais semblent bien plus jouir des heures de veille. »
« Il n'y a que deux choses qu'on peut contrôler dans la vie. L'art et la masturbation... »
« Il avait des trésors de compassion : après avoir assisté à une catastrophe minière épouvantable, il fut incapable d'achever une deuxième portion de gaufre. »
« Hé ! Ne te moque pas de la masturbation ! C'est faire l'amour avec quelqu'un qu'on aime... »

extrait des Dialogues du film Annie Hall de Woody Allen sur Allociné

jeudi 12 février 2009

« On me prend toujours pour un intellectuel à cause de mes lunettes, mais, en fait, j’aurais eu envie d’être sportif. Je me débrouillais pas mal au basket et au base-ball. Sans le cinéma, je serais devenu un bon à rien. Bon à rien c’est un métier très demandé ! »

Woody Allen extrait de la revue Gala

mercredi 11 février 2009

Ci-gît ma femme !
Ah ! Qu'elle est bien
Pour son repos
Et pour le mien !


Jacques du Lorens (1580 à 1655)

vendredi 6 février 2009

« Faire l’amour, c’est comme jouer au bridge. Si tu n’as pas la bonne partenaire, t’as besoin d’avoir une sacrée bonne main ! »
« Existe-t-il dans la nature quelque chose de réellement « parfait », à l'exception de la stupidité de mon oncle Heyman ? »

Woody Allen extrait de L’amour coupé en deux
« Évidemment, la science nous a appris à pasteuriser le fromage.
Mais quid de la bombe à hydrogène ? »

Woody Allen extrait de Mon allocution

jeudi 5 février 2009

Le Bouquet de l'amour

«Dans ce moment les politesses, les souhaits vingt fois répétés,et les ennuyeuses caresses, pleuvent sans doute à tes côtés. Après ces complimens sans nombre, l' amour fidèle aura son tour ; car dès qu' il verra la nuit sombre remplacer la clarté du jour, il s' en ira, sans autre escorteque le plaisir tendre et discret, frappant doucement à ta porte, t' offrir ses voeux et son bouquet. Quand l' âge aura blanchi ma tête, réduit tristement à glaner ,j' irai te souhaiter ta fête, ne pouvant plus te la donner. »

mercredi 4 février 2009

« Est-il meilleur d’aimer ou d’être aimé ? Ni l’un ni l’autre si notre taux de cholestérol excède 5,35. »
« Entre la femme et moi, il y a toujours une fermeture éclair qui se coince. »
« Écoutez, ça ne serait pas un monde meilleur si chaque groupe ne croyait pas avoir une ligne directe avec Dieu ? »

Woody Allen extrait de Deconstructing Harry
« Dieu reste muet, si seulement nous pouvions convaincre l'être humain d'en faire autant. »

Woody Allen extrait de Destins tordus (1981)

mardi 3 février 2009

Des bruits couraient que le ballet « La mort du cygne » avait été commandité par des bookmakers du nord de l’état de New York et que l’on pariait gros sur la survie de l’oiseau.
« De quelle longueur pensez-vous que doive être la jambe d'un homme ?
Assez longue pour toucher le sol. »
« Dans votre ascension professionnelle, soyez toujours très gentil pour ceux que vous dépassez en montant. Vous les retrouverez au même endroit en redescendant. »
« D’où venons-nous ? Où allons-nous ? Y a-t-il des possibilités de tarifs de groupe ? »
« Comment est-il possible de trouver une signification à un univers limité, compte tenu de mon tour de taille et de ma pointure de col ? »

Woody Allen extrait de Mon allocution

lundi 2 février 2009

« Chez nous, on mangeait à la carte : celui qui tirait l'as de pique mangeait. »
« Chez nous c’est moi le patron, ma femme est seulement celle qui prend les décisions. »
« Ce n'est pas que j'ai peur de la mort, je veux juste ne pas être là quand ça arrivera. »

Publié dans Newsweek, 1975
« C'est sûr, l'amour est la réponse. Mais pendant que vous êtes en train d'attendre la réponse, le sexe pose des questions très pertinentes. »

dimanche 1 février 2009

« C'est dur de faire un film, mais travailler pour de bon, c'est pire ! »
« Bien que je ne croie pas à une vie future, j'emporterai quand même mes vêtements de rechange et un peu d'argent de poche. Partout où l'on va, l'argent est préférable à la pauvreté, ne serait-ce que pour des raisons financières. »
« Avoir foi en une intelligence divine inspire une certaine tranquillité.
Mais elle ne nous libère pas de nos responsabilités humaines.
Suis-je obligé de surveiller mon frère ? »

Woody Allen extrait de Mon allocution